31 juillet 2015

Si vous avez aimé "Le monde selon Chirac"

Si vous avez aimé "Le monde selon Chirac" de JEAN-LOUIS DEBRÉ...



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"La mode selon Chirac" de JEAN-LOUIS DÉBRAILLÉ

Il y a un moment où les grands discours (ou les quatrièmes de couverture) ne sont plus qu'une perte de temps face à l'efficacité d'une bonne photo. Or, l'ouvrage de J-L DEBRAILLÉ propose une magnifique couverture.
A apprécier sans fin.

29 juillet 2015

Les plus beaux vers de la poésie française

GIOVANNI DOTOLI, Les plus beaux vers de la poésie française, Paris, Alain Baudry & Cie, 2012


Cher Monsieur Dotoli,

Vous ne me connaissez pas mais, je vous l’affirme, nous avons un immense point commun. Nous sommes tous deux des amoureux de la poésie française. Cela fait quelques années déjà que j’ai le plaisir de feuilleter votre recueil des plus beaux vers et je dois dire que vous les avez choisis avec goût. Néanmoins, je me prends la liberté de vous envoyer ce courrier car je crois qu’il y a matière à peaufiner votre ouvrage. En effet, il y a un auteur qu’il serait bon d’ajouter : moi-même. Sans vouloir me lancer des fleurs (du mal), je pense mériter ma place parmi les plus grands. Voici notamment l’un de mes meilleurs textes en alexandrins.

"Ô, chère poésie

Oui, je me permets une toute petite parenthèse afin d’apporter une précision, avant de commencer. Avec "chère poésie", je ne veux pas dire "chère" pécuniairement, bien entendu, mais sentimentalement. Pour ce qui est de l’aspect financier, il existe de nombreux petits recueils à des prix fort abordables. De toutes les tailles, chez tous les éditeurs, il y en a vraiment pour tous les goûts et pour toutes les bourses (dont votre bel ouvrage), ce qui ne manquera pas de ravir tous les amateurs de belles lettres.

"Ô, chère poésie

Attention, ceci n’est pas la suite, hein. Simplement, comme j’ai fait une petite digression, je préfère reprendre depuis le début pour ne pas briser le rythme du poème. La musicalité des vers reste ainsi intacte, la richesse de la poésie s’exprimant idéalement lorsqu’elle est lue d’une traite.

"Ô, chère poésie aux strophes cristallines
Toi qui as soigné les blessures de mon cœur

Naturellement, il s’agit ici d’une image romantique. J’ai bel et bien eu un petit souci cardiaque il y a quelques années mais ce n’est pas la poésie qui l’a guérit – et cela ne diminue en rien l’affection que je porte à cette magnifique discipline. En revanche, je profite de ce message pour adresser tous mes remerciements au Docteur Vaillant pour ses soins, sans lesquels je ne serais peut-être plus là aujourd’hui. S’il existait un trophée de cardiologie, je suis convaincu que cet extraordinaire médecin mériterait le "Pacemaker d’Or".

Je désirais te dire avec ces quelques lignes

Bon, là, je sais ce que vous pensez. Vous estimez que le verbe dire est mal choisi vu que je vous écris. Oui mais voilà, "écrire" comporte une syllabe de plus et cela m’aurait donc fait un pied de trop. Du coup, j’aurais dû raccourcir autre chose et écrire "ces quelles lignes", par exemple. Mais la phrase n’aurait plus eu aucun sens. Un moment, j’ai pensé remplacer la fin par "ces beaux vers", mais alors je perdais ma rime avec cristallines, à moins de changer tout le début, si bien qu’au bout d’un moment, je me suis dit que c’était bien comme ça.

Je désirais te dire

Ha non. Ben non, c’est vrai, maintenant que j’y pense, le "te" aurait été élidé et ça n’aurait pas créé un pied excédentaire. Pour le coup, je reconnais que c’est dommage. Le vers s’en serait trouvé plus riche. Néanmoins, je vous assure que l’intention est la même.

Je désirais te dire avec ces quelques lignes
Combien, ô ma poésie

Naturellement, j’emploie ici un possessif dont le but est de marquer ma vive affection mais je n’estime pas être l’heureux possesseur de toute la production poétique du monde. Non, j’estime vitale et essentiel que les belles lettres de nos grandioses auteurs (Verlaine, Baudelaire, Hugo, Johnny Hallyday, etc.) soient partagées et accessibles à tous. Comme le dit le proverbe populaire : Qui a poésie dans son âme possède pour toujours la flamme.

Combien, ô ma poésie, tu fais mon bonheur

Voilà, cher Monsieur Dotoli. C’est un véritable plaisir de partager ce petit bijou avec vous. J’imagine que, malgré votre habitude des jolies rimes, vous devez tout de même être impressionné par mon talent. Mais j’ai su rester modeste, ne vous inquiétez pas. Je vous envoie néanmoins par courrier postal un document attestant de mon droit de propriété intellectuelle sur ce texte. Je vous prierais de bien vouloir me le renvoyer signé avant d’ajouter mon poème dans votre recueil.

Poétiquement vôtre,


Arthur Rienbeau (Bruxelles)

26 juillet 2015

Si vous avez aimé "Rome (Guide Voir)"

Si vous avez aimé "Rome" dans la collection des Guides Voir...



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Guides Boire : Rhum

La collection des Guides Boire est LA référence en matière d'ouvrages pratiques et didactiques pour les boissons alcoolisées. L'amateur de bonne vinasse ou de gnôle bon marché sera comblé par toutes les informations présentes. Entre autres découvertes, le guide Rhum contient:

  • Un référencement exhaustif de tous les rhums connus ainsi qu'une évaluation décernée par les meilleurs pochtrons des éditions Achète.
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  • Des conseils pour mener vos propres expériences de distillerie en amateur (où vous découvrirez, notamment, comment créer un délicieux rhum parfumé aux épluchures de radis).
  • Un lexique complet pour communiquer avec les autres amateurs de rhum à chaque stades d'avancement de l’ébriété, depuis "Diantre, que voici un exquis breuvage!" (= "oh, il est bon ton rhum") jusqu'à "Gni'è pas dég*burp*dégueu'asse ze truc làeheu*burp*" (= "oh, il est bon ton rhum").
Les Guides Boire. Une histoire de culture.

24 juillet 2015

Mincir en mangeant gras

ZANA MORRIS & HELEN FOSTER, Mincir en mangeant gras, Neuilly-sur-Seine, Michel Lafon, 2015

Exclusif! FCL a retrouvé un des premiers testeurs du livre "Mincir en mangeant gras"!
Dans sa petite maison de Marseille, Roger Lacouenne nous accueille avec le sourire. Une bière à la main, il nous invite à prendre place sur sa terrasse et nous ouvre son coeur (que le cholestérol n'obstrue pas encore totalement).
Ce livre a changé ma vie, explique-t-il, parce que, avant, ça n'a pas toujours été drôle. En effet, aussi loin qu'il s'en souvienne, Roger a eu une vie difficile. Enfant corpulent, il porte des vêtements adultes XXL dès l'âge de 8 ans. Evidemment, il fait très tôt l'objet de toutes les moqueries de ses camarades. C'était parfois très dur à encaisser. En plus, avant d'arriver à France, j'ai grandi au nord de la Finlande. Du coup, la température de Marseille me paraissait insupportable et je me baladais souvent torse-nu à l'école. Parfois, même, complètement nu. Mes bourrelets couvraient mon caleçon, de toute manière, donc personne ne voyait la différence. Mais je me suis fait prendre à la gym, en faisant le poirier. Enfin, tout ça pour dire que je ne pouvais que difficilement passer inaperçu.
Son handicap, Roger a dû le traîner derrière lui comme un poids – c’est le cas de le dire – durant toute son adolescence. Pourtant, comme il le confie lui-même, il a tout essayé. Je pense que j'ai lu tous les bouquins de régime parus! [rires] Non, sérieusement, pendant des années, j'ai fait des efforts colossaux pour perdre du poids et j'ai testé quasi toutes les méthodes. Alimentation équilibrée: un kilo de frites, un kilo de mayonnaise. Régime dissocié: d'abord un kilo de frites et la mayonnaise dans un second temps. Chrononutrition: mayonnaise au déjeuner, frites à midi et soupe légère au saindoux le soir. Régime sans féculent: des beignets à la place des frites. Rien n'a fonctionné. Je vous le dis en toute franchise, il ne faut pas croire tout ce qu'on lit. Il y a vraiment des livres de régime qui prennent les gens pour des cons!
Ce n'est qu'il y a quelques semaines, à l'aube de ses 41 ans, que la chance a souri à notre auguste Marseillais. Quand j'ai vu le titre Mincir en mangeant gras, j'ai d'abord cru que c'était un nouvel attrape-nigaud. Mais je l'ai feuilleté et, là, j'ai tout de suite compris que c'était le livre qui me fallait. Et ce n'est rien de le dire! En suivant scrupuleusement la méthode décrite dans le livre, Roger a pris à peine 190 grammes en une semaine. C'est extraordinaire! s'exclame-t-il. Pour moi qui avais l'habitude de prendre près de 800 grammes par mois, ce nouveau régime est une révélation!. Et un gros mois plus tard, c’est le miracle. Je n’y ai pas cru. Je me suis pesé quatre fois de suite pour en être certain. Après six semaines de régime suivi, Mincir en mangeant gras m’a permis de perdre 4 kilos ! Bon, il faut remettre les résultats dans leur contexte aussi. Il est vrai que cette perte de poids correspond étrangement au moment où le docteur m’a obligé à subir une liposuccion. Mais je ne crois pas aux coïncidences. Le régime y est certainement pour quelque chose.
Quoi qu’il en soit, l’histoire finit bien et Roger Lacouenne est aujourd’hui un homme heureux. Et lorsqu’on lui demande si, quand même, il n'a jamais eu l’impression que ce livre le prenait pour un con, Roger nous répond avec humour: Non, pas pour un con. Pour un GROS con! [rires] Non, je plaisante!.
Ah, sacré Roger.
Roger Lacouenne, une joie de vivre qui fait plaisir à voir!

19 juillet 2015

Si vous avez aimé "Musée du Quai Branly"

Si vous avez aimé l'ouvrage "Musée du Quai Branly"...



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"Musée du Quai Branlant"


Attention, avis aux collectionneurs! Ce magnifique et unique catalogue est édité par le Musée du Quai Branlant en partenariat avec les éditions V'là Marion. L'ouvrage présente en détail les plus belles photographies de quais et pontons bancals à travers le monde, ainsi que les extraordinaires reproductions taille réelle que les visiteurs peuvent découvrir au musée (et même essayer, s'ils n'ont pas peur de se briser quelques os).
Sans bouger de chez eux, les heureux possesseurs de ce catalogue pourront ainsi découvrir le célèbre "Quai des Truites" (baptisé ainsi depuis le deuxième jour suivant sa construction, quand il s'est écroulé dans la rivière - riche en truites - longeant le versant nord de la gare de San Barachi), le "Quai des Mille Retards" d'Arnac-la-Poste ou encore l'inquiétant ponton dit "du Fantôme de la Dame Blanche" (où deux habitants du coin prétendent avoir un jour vu apparaître le fantôme d'une crème glacée).
Le livre est distribué en édition limitée de seulement 5000 exemplaires, numérotés de 1 à 3.000.000.

17 juillet 2015

Si vous avez aimé "La petite voix"

Si vous avez aimé "La petite voix" de EILEEN CADDY...



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"La petite voie" de ELLE CADDY

Témoignage poignant d'une jeune femme passée à deux doigts de la mort, "La petite voie" raconte en détail comment l'auteure se retrouva coincée dans le rayon d'un supermarché suite à la disposition inconsciente de présentoirs lui bloquant le passage. L'allée étant devenue trop étroite, Elle voulut faire demi-tour avant de constater qu'une poussette abandonnée bloquait la voie, lui interdisant ainsi toute retraite.
Retrouvée huit jours plus tard en état de déshydratation critique, Elle Caddy retrouva la santé après deux mois d'hospitalisation. Ce livre est son histoire. 

12 juillet 2015

L'atelier Lego 2.0

COLLECTIF, L'atelier Lego 2.0, Huginn & Muninn, Paris, 2015


Chers amis constructeurs collectifs et anonymes,

Je prends le temps de vous écrire car j'aimerais vous adresser l'une ou l'autre remarque sur votre livre "L'atelier Lego 2.0". En effet, j'ai récemment eu l'occasion d'observer votre livre dans les mains de mon filleul et, quoiqu'il s'agisse d'un fort bel ouvrage, quelques modèles illustrés dans vos pages m'ont surpris.
Permettez-moi de partager quelques exemples avec les lecteurs par le biais d'un scan de fort mauvaise qualité:


J'ai remis ici ensemble différents exemples découverts au fil des pages.
J'entends déjà la foule retenir son souffle devant ces images tant l'évidence saute aux yeux: avec ces constructions, n'avez-vous pas l'impression de mettre la barre un peu haut? Je veux dire... le joyeux enfant, à qui l'on vient d'offrir votre livre assorti de sa première boîte de Légos, se retrouve sans préambule confronté à ces modèles qui demandent jusqu'à une dizaine de pièces à emboîter! Messieurs, sincèrement, je fais un effort pour ne pas m'emporter tant votre négligence me scandalise. Pensez-vous qu'il est judicieux de démontrer à un enfant la différence de niveau qui existe (et existera toujours) entre lui et son petit camarade issu d'un milieu aisé? Petit camarade dont les parents paieront sans problème l'exorbitant minerval pour ses études d'ingénieur. Car, messieurs, reconnaissez-le, il faut être ingénieur ou architecte pour réussir vos créations sans passer par une prise en main de plusieurs mois sur des modèles plus simples!
Néanmoins, je peux vous aider à combler cette lacune. Voici quelques modèles personnels qui, je pense, se doivent de figurer dans les premières pages de votre ouvrage afin que les bricoleurs moyens ne grillent pas leurs neurones en tentant vainement de réaliser votre "fontaine" ou autre "boîte aux lettres":


En travaillant sérieusement sur base de ces nouveaux exemples, je crois que tout un chacun pourra s'entraîner jusqu'à acquérir la technique nécessaire pour entreprendre la construction de vos modèles illustrés plus haut dont la complexité flirte avec la folie au point que Escher lui-même n'y aurait rien compris.

Ingénieusement vôtre,

Maggie Deuxblocs (Ostende)


7 juillet 2015

Si vous avez aimé "Une saison à Longbourn"

Si vous avez aimé "Une saison à Longbourn" de JO BAKER...



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"Une saison à Longbourrin" de JOS BOVIN.

Ecrit comme un récit de voyage, Jos Bovin nous y raconte sa découverte du petit village de Longbourrin, pépite de tranquillité située loin de l'agitation des grandes villes, juste à côté du non moins charmant hameau de Pont-sur-Bouse.
En véritable défenseur des lieux, l'auteur nous conte avec affection ses plus beaux souvenirs au sein de cette communauté devenue son lieu de vie depuis plus de vingt ans. Il nous invite ainsi, en toute intimité, à découvrir les personnes et les lieux qui ont bâti la réputation de rêve de Longbourrin (pour ceux qui en ont déjà entendu parler, en tout cas):

  • On y découvre le magnifique (et unique) restaurant du village, "Le Boudin d'Ivoire", où le patron sert son désormais célèbre menu "Triple 9": 9 kilos de boudins, 9 kilos de croquettes fourrées aux lentilles et 9 kilos de compote de pomme à la cassonade au sirop d'érable (menu conseillé à partir de deux personnes). Les amateurs de grillades peuvent également profiter des saveurs de viande rôtie sur bec bunsen.
  • Le lecteur s'attardera ensuite dans la plus vieille quincaillerie d'Europe, "Chez Hen i", dont le patron - modèle de professionnalisme - se fait appeler "Hen i" depuis que le "r" de sa devanture s'est décroché lors de la violente tempête qui fit trembler Longbourrin en 1992. Lorsque l'auteur lui demande pourquoi il n'a jamais remis son "r" en place, Hen i lui répond avec la simplicité des gens proches de la nature: "Bwooarf...".
  • Une douce sensation de rêve éveillé s'emparera du lecteur lorsqu'il lira les lignes consacrées à la description de l'hôtel "Les draps de soi". Notons qu'il ne s'agit pas, cette fois, d'une lettre manquante mais bien d'un charmant concept où les visiteurs doivent apporter leurs propres draps pour passer la nuit.
  • Enfin, Jos Bovin nous décrit, avec l'admiration qui le caractérise, toutes les autres petites merveilles de son village d'adoption: son mini-golf à deux trous, son moulin à vent sans moulin, sa distillerie d'alcool de clou de girofle, son musée de gravure sur boue ou encore ses omniprésents et adorables poulets de gouttières.
"Une saison à Longbourrin" est une porte ouverte vers l'espoir tant l'auteur parvient à nous convaincre que le paradis sur terre n'est finalement pas si loin de nous.
Un best-seller à découvrir de toute urgence.

6 juillet 2015

L'hôtel des coeurs en miettes

DEBORAH MOGGACH, "L'Hôtel des Coeurs en miettes", City Editions, Saint-Victor-d'Epine, 2015



Chère Madame Moggach,

Je me permets de vous écrire via ce site suite à ma découverte de votre dernier livre.
Alors que j'errais sur Google en quête d'un hôtel pour mes prochaines vacances, voilà qu'entre les résultats "Hôtel Caprice (Rome)" et "Egerton House Hotel (Londres)", je tombe sur le lien particulièrement intriguant me redirigeant vers l'hôtel "des coeurs en miettes".
Je fus bien soulagé de voir qu'il s'agissait d'un roman et non d'un véritable hôtel mais, néanmoins, je n'en demeure pas moins interloqué: vous êtes-vous basée sur un lieu réel? Peut-être s'agit-il de l'hôtel familial grâce auquel vous arrondissez vos fins de mois...
Si tel est le cas, je me vois obligé de vous avertir que le nom en est fort mal choisi (désolé, déformation professionnelle oblige: je suis agent commercial!). Peut-être ne le réalisez-vous pas mais votre choix n'appelle pas vraiment au rêve. Tenez, imaginons la très réaliste petite scénette suivante:

    Jean-Claude: Géraldine, j'ai une surprise pour vous, ma bonne amie!
    Géraldine: Oh, vraiment, élu de mon coeur?
   Jean-Claude: En effet! Demain, nous filerons les cheveux aux vent vers un nouveau lieu de villégiature! Je vous emmène à l'hôtel!
    Géraldine: Oh mais quelle magnifique attention, étoile de ma vie!
    Jean-Claude: N'est-ce pas. Nous nous rendrons donc à l'hôtel des Coeurs en miettes, un paisible petit refuge campagnard. J'en profiterai pour vous faire part de quelques pensées  désagréables (vous concernant) qui m'animent ces temps-ci. Et... euh... il faudra également que je vous parle de Héléna, ma nouvelle secrétaire... Je... Enfin, vous verrez bien... Disons que notre nuit à l'hôtel sera thématique.
    Géraldine: Oh, comme j'ai hâte d'y être, mon étalon camarguais!

Vous serez d'accord, Madame Moggach, pour affirmer sans hésitation que, dans la situation ci-narrée, Géraldine passe pour une cruche! Nous serions même tentés de la rebaptiser Géraldinde! Pourquoi? Eh bien parce qu'elle ne remarque pas l'évidente catastrophe conjugale qui la guette alors que pour nous, le drame est flagrant... à cause du nom de votre hôtel.
A titre de comparaison, ce serait comme appeler une boulangerie "Le Pain Rassi", un centre de bien-être "Stress & Douleur", un restaurant chic "Au gros cassoulet en conserve", un cabinet d'orthopédie "Les pieds dans le plat". Enfin, vous avez compris l'idée.

Je reste à votre disposition afin que nous puissions réfléchir ensemble à un nouveau nom pour votre gîte familial. Et à une nouvelle couleur pour votre façade, tellement laide qu'elle donnerait un infarctus au premier malheureux qui passerait devant. Ah tiens, maintenant que j'y pense: c'est pour ça les coeurs en miettes?

Bien à vous,

Marc Ketting (Braine-le-Château)

3 juillet 2015

Le goût des jardins

COLLECTIF, "Le goût des jardins", Mercure de France, 2006, Paris.


Cher Collectif,
C'est avec grand plaisir que je vous contacte via ce site afin de vous proposer mes menus services.
En effet, j'ai découvert votre livre "Le goût des jardins" et la couverture m'a sauté aux yeux. Nous partageons le même talent pour la photographie et la mise en évidence de nos passions! Comme un dessin vaut mieux qu'une longue explication, je vous présente deux de mes travaux sur les couvertures de mes propres ouvrages:



Il me semble évident que je suis la personne qui vous faut afin de réaliser vos prochaines couvertures, dans la parfaite continuité de ce que vous faites déjà. Sachez que je maîtrise toutes les techniques et tous les outils (informatiques ou non) qui nous permettront d'aboutir à un résultat optimal: Photoshop, Lightroom, gravure tout support, montages sur calques physiques et application talentueuse de petits stickers fantaisie ou décalcomanies rigolotes.
Bref, votre expertise en ce domaine vous le clame déjà: je suis une occasion en or à ne pas laisser passer.

A très bientôt!

Adolfo Tochop (Paris)